Louangé à juste titre en 2014 pour avoir osé ouvrir l’accès à l’aide médicale à mourir à l’initiative de la députée de Joliette, Véronique Hivon, le Québec se fait maintenant condamner par la justice pour ne pas en avoir assez fait. Dans une décision concernant Nicole Gladu et Jean Truchon publiée mercredi, la Cour supérieure du Québec constate que le critère de fin de vie prévisible dans un délai limité est trop contraignant et, par ce fait, inconstitutionnel.
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