C’est devenu un lieu commun d’affirmer que la pandémie a accentué les inégalités sociales. D’un côté, elle a favorisé l’accumulation des profits par quelques géants, pendant que de l’autre, elle a fragilisé les salariés, les sans-emploi, les personnes vulnérables et en perte d’autonomie — bref, quiconque ne peut jouir d’un revenu tiré d’un capital, lequel n’a pas été trop perturbé par les turbulences pandémiques.
AURÉLIE LANCTÔT, LE DEVOIR
Enfin, ça ne s’invente pas, prenez la surenchère immobilière complètement démente dont on parle ces derniers temps. Alors que les propriétaires se précipitent pour « faire la piastre », le logement locatif est au plus mal et les locataires sont plus nombreux que jamais à connaître l’instabilité financière. De quoi alimenter l’angoisse et les insomnies — l’autre épidémie, sans aucun doute, que celle de la détresse des précaires en ces temps incertains…
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