À 27 ans, Kim souffre d’une légère déficience intellectuelle, d’un trouble du déficit de l’attention sévère et de dysphasie. Au cours des cinq dernières années, elle s’est retrouvée à deux reprises sous la coupe de conjoints violents. Malgré tout, en 2017, elle a retrouvé la garde de sa fille Laurianne. La Loi sur la protection de la jeunesse est claire : le premier choix, c’est que l’enfant demeure chez ses parents biologiques. La tragédie de Granby a remis cette orientation en cause. Or, l’histoire de Kim, c’est un peu le contre-exemple de celle de Granby. Elle est matière à réflexion.
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