Il n’y a pas d’urgence à encadrer dès mars l’aide médicale à mourir pour les troubles de santé mentale. Le gouvernement caquiste devrait appuyer sur pause et demander si nécessaire un délai à la cour.
Pour l’instant, il fonce sans bien s’expliquer ni consulter la population, et sans même être certain que la loi l’y contraigne ou que le fédéral le suivra dans cette démarche. Et il alimente ainsi les scénarios les plus alarmistes.
Depuis plusieurs années, les élus de l’Assemblée nationale avancent avec tact pour construire un fragile consensus sur ce sujet sensible. Hélas, le gouvernement caquiste défait ce travail en utilisant la méthode opposée.
Pour plus d’informations, veuillez lire la suite de l’article sur La Presse.