L’écran du cellulaire s’allume, affichant un message intrigant : un texto indique que la Ville de Montréal a finalement décidé de rembourser un constat d’infraction payé récemment. Un lien apparaît, indiquant mener au site transactionnel d’Interac, où un montant de 128,67 $ est disponible.
Voilà, si le message ne comporte aucune faute d’orthographe et reproduit avec fidélité le site d’Interac – deux drapeaux rouges habituels pour détecter les tentatives d’hameçonnage –, un fait majeur saute aux yeux : la Ville de Montréal ne rembourse jamais de constat d’infraction.