Isabelle* est infirmière, elle travaille dans un CHSLD où, depuis trois semaines, il n’y a plus aucun médecin.
Même pas de garde.
À Québec, au moins 1 résidant sur 10 est dans cette situation. Je vous en ai parlé dimanche dernier, un médecin me racontait comment les nouvelles règles établies en 2015 par le ministère de la Santé avaient eu des effets pervers dans les CHSLD et pour les autres clientèles vulnérables.
Parce que les vieux ne sont plus « calculés » dans la prise en charge.
Lire la chronique de Mylène Moisan dans La Presse qui explique qu’avant les démarches étaient simples, tandis que maintenant c’est une déperdition de temps et d’argent.