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Le cauchemar d’un héritage non désiré

Imaginez que vous ayez un frère dont vous n’avez pas de nouvelles depuis des années. C’est un moindre mal, car pour le dire poliment, ça faisait votre affaire. Vos affinités se limitaient à ce lien de sang, lien auquel vous n’avez pas consenti. Ça arrive dans toute bonne famille.

DANIEL GERMAIN, TVA NOUVELLES

Un jour, ce frère se manifeste pour vous annoncer qu’il va bientôt mourir d’une maladie incurable. 

Il n’a pas une cenne, pas plus de testament. 

« Tu t’arrangeras avec ça », vous lâche-t-il pour conclure, sans autres indications. Sans conjoint ni enfant, il vous lègue un paquet de troubles.  

Imaginez que vous ayez un frère dont vous n’avez pas de nouvelles depuis des années. C’est un moindre mal, car pour le dire poliment, ça faisait votre affaire. Vos affinités se limitaient à ce lien de sang, lien auquel vous n’avez pas consenti. Ça arrive dans toute bonne famille.

Un jour, ce frère se manifeste pour vous annoncer qu’il va bientôt mourir d’une maladie incurable. 

Il n’a pas une cenne, pas plus de testament. 

« Tu t’arrangeras avec ça », vous lâche-t-il pour conclure, sans autres indications. Sans conjoint ni enfant, il vous lègue un paquet de troubles.  

Comme seul héritier légal, jusqu’où êtes-vous pris avec ça ?

On ne peut pas se défiler

Voilà une vraie histoire, celle du lecteur Jean-Pierre (pseudonyme). 

« Je ne veux pas paraître sans cœur, mais considérant mon âge et mes problèmes de santé, et aussi le fait qu’il n’a rien fait pour faciliter la tâche, je vous avoue ne pas avoir l’intention de m’impliquer dans la liquidation d’une succession qui risque d’être déficitaire, en plus des frais funéraires et autres dépenses, et du temps nécessaire pour régler tout ça… » 

J’aimerais pouvoir vous dire de faire le mort en attendant que ça passe, mais je crains que vous n’ayez pas le choix de vous taper certaines démarches et de payer quelques frais.

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