C’était écrit dans le ciel : à partir du moment où le législateur a associé la laïcité à l’absence de tout signe religieux visible, une collision frontale était à prévoir.
Elle s’est produite dès la rentrée scolaire alors qu’un père de famille a exigé que son enfant soit retiré d’une classe de maternelle parce que son enseignante porte le voile islamique.
Comme tous les autres employés d’institutions publiques visés par la Loi sur la laïcité de l’État (projet de loi 21) et embauchés avant le 27 mars 2019, cette enseignante musulmane bénéficie d’une exemption. Elle a le droit de continuer à porter le hidjab tant et aussi longtemps qu’elle enseignera à la CSDM.
Pour plus d’informations, veuillez lire la suite de l’article sur La Presse.