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Pour un vrai ministère des Aînés

L’énergie que ma conjointe et moi avons dû déployer depuis deux ans pour nous occuper de personnes âgées de notre famille équivaut pratiquement à un emploi à temps partiel, pour nous qui sommes déjà retraités. Et cela ne compte pas uniquement les moments que nous avons passés avec ces personnes, qui, finalement, sont la partie la plus réconfortante de ce temps. C’est plutôt les déplacements, les périodes d’attente pour les visites médicales et surtout les multiples démarches téléphoniques auprès des services publics ou privés, avec attente en ligne, pour le moindre changement d’adresse, le moindre renseignement ou la moindre explication sur un formulaire à remplir, sur la case à cocher, avec toutes les contraintes liées à la confidentialité des renseignements personnels.

PHILLIPE BARETTE, LE DEVOIR

La lourdeur de cette aide aux personnes âgées varie au gré des semaines, autant pour une personne semi-autonome qui vit en hébergement privé que pour une personne visée par un mandat de protection homologué, qui vit en résidence pour aînés et pour laquelle toutes les décisions touchant son bien-être ou ses biens incombent au mandataire.

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