L’un des problèmes du système de santé les plus urgents à régler cette semaine est celui des nombreux patients qui n’ont plus besoin de soins actifs, mais qui sont encore à l’hôpital parce qu’on tarde à les transférer.
ALEXANDRE SIROIS, LA PRESSE
Il y a de quoi en faire, dès que la crise sera terminée, une fascinante étude de cas pour quiconque s’intéresse à la complexité du processus de prise de décision dans le milieu de la santé en temps de pandémie.
C’est aussi un exemple saisissant des difficultés auxquelles font face nos décideurs quant à la recherche de solutions.
Les journalistes Ariane Lacoursière et Léa Carrier ont récemment dressé un portrait éclairant du problème, de ses sources et des dilemmes qu’il pose.
« Le traumatisme de la première vague de COVID-19, où des aînés parfois contaminés ont été envoyés en milieux de vie pour aînés, entraînant des éclosions, est encore vif », ont-elles rapporté.
Et c’est ce qui explique en grande partie pourquoi plus de 600 patients occupent actuellement des lits dont ils n’ont plus besoin.
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