Que faut-il pour redresser le réseau de la santé?

Commission d’enquête ou d’étude, états généraux, processus de médiation : il faut une idée pour briser la dynamique d’affrontement en santé, croient les trois hommes qui ont dirigé les grandes commissions à avoir marqué l’histoire du réseau, Claude Castonguay, Jean Rochon et Michel Clair.

À l’aube de la campagne électorale, tous trois invitent les partis à se positionner sur les moyens qu’ils prendraient, une fois élus, pour dépolitiser le débat autour de la santé. L’idée maîtresse : avancer plutôt que s’enliser. Pour Jean Rochon, une commission serait l’occasion de « casser la dynamique d’affrontement ».

« La dynamique est complètement bloquée actuellement », constate celui qui a présidé, en 1985, la Commission d’enquête sur les services de santé et les services sociaux. Il deviendra ministre de la Santé sous un gouvernement péquiste en 1994.

MM. Castonguay et Clair, craignant qu’une commission ne prenne trop de temps et que ses recommandations ne soient ignorées, penchent vers d’autres solutions mobilisatrices, comme la médiation.

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