Des lacunes dans les systèmes de surveillance de résidences pour aînés ont maintes fois été signalées par divers coroners, mais l’histoire semble se répéter. Depuis 2010, une quinzaine de personnes âgées et vulnérables sont mortes de froid hors des résidences qui en avaient la garde, dans des circonstances rappelant le drame vécu par Hélène Rowley Hotte et la famille de Gilles Duceppe en janvier dernier.
Des documents obtenus par Le Devoir grâce à la Loi d’accès à l’information démontrent que depuis 2010 plusieurs coroners ont conclu que des déficiences dans les systèmes de verrouillage des portes ou encore dans la surveillance assurée par les employés étaient en cause dans les décès de résidents, survenus par hypothermie.
Lire les détails dans Le Devoir