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Une loi avec « plus de mordant »

Un travailleur de la santé dans le réseau public comme dans les résidences privées pour aînés sera obligé de signaler toute situation présumée de maltraitance, sous peine d’amendes. Québec veut également se donner le pouvoir de révoquer le permis ou d’imposer la tutelle à une résidence où des personnes sont maltraitées.

TOMMY CHOUINARD, LA PRESSE

C’est ce que prévoit le projet de loi 101 déposé mercredi par la ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, Marguerite Blais. Il vise à renforcer la Loi visant à lutter contre la maltraitance envers les aînés et toute autre personne majeure en situation de vulnérabilité, adoptée sous le gouvernement Couillard au printemps 2017.

« J’ai toujours voulu qu’il y ait plus de mordant dans la loi. Et la pandémie nous a montré des situations inacceptables, qu’on pense au Manoir Liverpool, qu’on pense au CHSLD privé Herron… Ça m’apparaît important qu’on puisse se donner plus de leviers dans la loi », a affirmé la ministre en entrevue.

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