MONTRÉAL, le 21 nov. 2021 /CNW Telbec/ – La meilleure maison pour vieillir, c’est chez soi. Le Québec doit opérer un véritable virage pour assurer que chaque aîné qui souhaite rester à la maison ou en résidence privée puisse le faire. Toutefois, il est parfois difficile pour eux d’y arriver, notamment compte tenu de l’augmentation du coût de la vie, mais aussi car les aînés du Québec doivent adapter leur domicile et y recevoir plusieurs services pour des tâches qu’ils ne sont plus capables de faire eux-mêmes.
CABINET DE LA CHEFFE DE L’OPPOSITION OFFICIELLE
Aujourd’hui, des crédits d’impôt existent, mais ne sont pas suffisants pour supporter le soutien à domicile, mais ils sont aussi souvent compliqués pour nos aînés qui doivent chaque année conserver leurs factures, les inclure dans leur déclaration d’impôt et recevoir par la suite les montants dûs.
Pour Mme Anglade, la situation actuelle ne favorise pas le maintien à domicile de nos aînés « Il y a plus de 1 million d’aînés de 70 ans et plus au Québec, mais une minorité sont hébergés dans des établissements de soins. Or, nous ne parlons que très rarement de la majorité d’aînés qui sont actifs et peinent à conserver leur maison ou encore à se payer les services dont ils ont besoin, comme des petits travaux de rénovation. Avec l’augmentation du coût de la vie, il faut être sensible à leur réalité et mieux les soutenir pour qu’ils puissent continuer de vivre dans leur maison. François Legault est obsédé par les maisons des aînés, mais oublie que la majorité des Québécois de 70 ans et plus vivent un réel stress financier.»
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